Vous dirigez un organisme de bienfaisance canadien de taille plutôt modeste? Ces situations vous sembleront peut-être familières :
- La prochaine réunion trimestrielle du CA se tiendra sous peu et vous êtes la seule personne disponible pour rédiger cinq notes détaillées, accompagnées d’analyses financières…
- Un de vos partenaires communautaires veut se réunir incessamment le seul jour de la semaine où vous n’êtes pas rémunéré pour être au bureau…
- Votre comptable recherche les reçus manquants pour faire votre rapport d’impôt mais vous n’avez pas eu de temps d’en faire le classement…
Ces obstacles courants sont le lot quotidien de l’employé à temps partiel ou de l’unique employé à la tête d’un petit organisme de bienfaisance. Et vous avez raison de penser que cette réalité est injuste.